Expérience professionnelle dans le secteur des finances publiques, des PME et du commerce extérieur depuis 1993.
A - Paris: Exécution d’un programme de formation sur le rôle et les responsabilités de l’ordonnateur national / régional du FED destiné à des fonctionnaires internationaux
1. Date: novembre 2012
2. Lieu: Paris, France
3. Organisation: Institut Perspective, UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine)
4. Fonction: expert court terme, en partenariat avec l'Institut Perspective (Sofreco)
5. Responsabilités: chargé de prodiguer un programme de formation de 5 jours à des membres du personnel de la commission de l’UEMOA (sis à Ouagadougou) sur différentes matières en rapport avec les procédures du FED (GCP, approche du cadre logique, passation et exécution de marchés publics…).
6. Réalisation et principales activités:
Conception et exécution d’un programme de formation d’une semaine (avec différents modules) comprenant le rôle et les responsabilités de l’ON et du OR selon l’accord de Cotonou et les guide pratique, les procédures contractuelles et financières et de passation de marchés, la conception et la rédaction d’un projet (avec une étude de cas pratique) selon l’approche du cadre logique et les priorités en termes de suivi et d’évaluation de la performance selon la gestion axée sur les résultats.
7. Acquis:
En tant qu’organisation régionale, l’UEMOA est régulièrement mise à contribution dans la gestion de programmes financés par le FED ayant un impact transfrontalier ou des composantes impliquant plusieurs pays d’Afrique de l’ouest (dans les secteurs du transport et de la communication ou de l’environnement par exemple). Ceci requiert donc du personnel de tels organismes de maîtriser les procédures typiques au FED en plus de celle relatives à la gestion du cycle de projet en général.
Une première expérience de ce type pour Andraman à savoir avec un institut focalisé sur la formation professionnelle ou continue et l’andragogie. D’habitude Andraman dispense des formations sur la GCP et les matières y liées lors de missions d’appui ou d’assistance technique. Une collaboration des plus intéressantes avec l’institut Perspective lié à Sofreco (juste à côté de son siège de Clichy) et un pas de plus dans l’organisation de programmes académiques ou professionnels dans le domaine de la gestion et l’exécution de contrats internationaux et de marchés publics.
B - Missions de renforcement du système de suivi-évaluation des programmes financés par le Fonds belge de survie en Afrique subsaharienne
1. Date: juin 2003 - novembre 2004
2. Lieu: Bruxelles, Belgique et Rome, Italie (avec missions fréquentes en Afrique subsaharienne)
3. Organisation: Fonds belge de Survie (+€250 millions.) / Ministère belge des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et de la Coopération au développement, DG « Coopération au développement » - 6 rue Bréderode, 1000 Bruxelles.
Mis en place par le Parlement belge en 1983, le FBS compte 20 partenaires d’exécution répartis entre la Coopération technique belge (CTB), les ONG du Nord et du Sud ainsi que les agences et programmes de l’ONU (FIDA et FAO, UNICEF, FENU/ UNCDF) et finance des interventions dans des régions d’extrême pauvreté et/ou en situation de famines chroniques tout en tenant systématiquement compte des problèmes liés à la dégradation de l’environnement et aux inégalités des chances entre sexes (promotion de la femme) ainsi qu’à la lutte contre le SIDA. L’attention porte aussi sur le commerce équitable, à la responsabilisation ou « empowerment » et au désengagement « ownership ».
4. Fonction: Expert à qualification spéciale dans le domaine du suivi-évaluation et à ce titre chef du projet « Performance Monitoring and Evaluation System ».
5. Responsabilités:
Je dois veiller à ce que les règles du FBS soient respectées à savoir qu’il prône la gestion du cycle du projet (« PCM » - 6 phases depuis l’identification à la programmation) selon l’approche du cadre logique -ou par objectifs, et que ses interventions, centrée sur la sécurité alimentaire, suivent le principe de l’approche intégrée et participative en tenant compte de toutes les dimensions de la pauvreté (définitions OCDE.).
Il soutient donc des actions à la fois dans le domaine social (santé, éducation, services et infrastructures de base - eau potable et routes), communautaire (ou « sociétal »: iniquités dues au statut, protection des minorités vulnérables), politique (appui à la décentralisation et aux institutions locales de développement), économique (marchés, soutien à l’agriculture et au secteur privé, micro-entreprises, saine gestion des ressources naturelles) et sécuritaire au sens large (objectifs de durabilité/viabilité, prévention des crises et instabilités etc.
Mes activités se répartissent entre la mise en place ou l’amélioration du PMES au sein des projets gérés par le FBS en général et la conduite de missions sur le terrain dans les 20 pays concernés. Ceci en collaboration avec les organisations chargées de l’exécution des 80 programmes dont je vérifie la qualité des P.M&E S. Je cherche donc à pourvoir le FBS (en vue de sa propre évaluation en 2005) d’instruments lui permettant de mieux juger de son action en termes de viabilité, d’impact ainsi que d’efficacité, d’efficience et de pertinence, ce qui me conduit à viser à plus de cohérence par la standardisation des outils de gestion en général et l’harmonisation des indicateurs objectivement vérifiables plus particulièrement.
De surcroît, je préside le comité d’appréciation des nouvelles propositions de projets.
J’impose qu’à chaque fois tout projet soit présenté en suivant le principe de causalité (liens de causes à effets): analyse de l’existant (contexte et parties prenantes), arbre à problèmes, identification des objectifs et résultats escomptés, stratégie (moyens, coûts et calendrier) à mettre en œuvre en fonction des hypothèses, conditions et risques inhérents, moyens alloués au PMES et procédures, définition d’indicateurs objectivement vérifiables (principes « SMART » ou « QQTTP ») et de sources de vérification et matrice de cadre logique.
Toute situation, tout projet doit être abordé par l’approche intégrée (cf. infra 6.2.).
6. Réalisations et principaux projets:
Je suis intervenu sur plus de 12 projets en cours, notamment à l’occasion de missions ( Ouganda, Niger, Kenya et Sénégal) et ai systématiquement révisé les cadres logiques d’intervention des projets visités (cf. infra), des propositions reçues (+ 20) ainsi que de tous ceux en phase de démarrage
6.1. Définition d’une stratégie de renforcement du système d’évaluation de la performance du Fonds belge de Survie: En concertation avec les project managers et ceux chargés du PMES pour l’ensemble de la coopération belge (cellule PMEO et Evaluateur Spécial), j’ai défini et présenté (mars 04) une stratégie (centrée sur la communication) et procède à sa mise en œuvre tout en préparant l’évaluation à mi-parcours du FBS (prévue fin 2005). En outre, j’ai arrêté une série de 12 projets-pilotes.
6.2. Ateliers/séminaires et exercices de renforcement du PMES au sein du Fonds belge de Survie (depuis oct. 2003): De manière permanente, j’ai renforcé les capacités des gestionnaires du FBS et de ses 3 attachés en poste (Bamako, Kampala et Dar Es-Salaam) en révisant les procédures et la stratégie, menant des « ateliers » improvisés ou non, modifiant les PMES existants (notamment pour l’appréciation des nouvelles propositions).
6.3. Renforcement du PMES avec le FIDA: Partenaire historique du FBS, ayant mis en œuvre 20 projets depuis ‘95 et représentant plus du 1/4 du portefeuille. J’ai visité 3 projets (Ouganda et Kenya) et rencontré le management. En outre, via la cellule « Joint-Programme » au sein-même du FIDA à Rome, j’ai proposé la participation au renforcement du PMES entamé par le FIDA en 2004, notamment suite à nos recommandations.
C. Inspecteur d’administration fiscale au sein du bureau des recettes de la commune de Saint-Gilles (Bruxelles)
1. Date: novembre 2002 - mai 2003
2. Lieu: Bruxelles, Belgique
3. Organisation: service des recettes (ministère des Finances) de la commune de Saint-Gilles (une des dix-neuf que compte Bruxelles) dirigé par un receveur communal.
4. Fonction: inspecteur d’administration fiscale.
5. Responsabilités:
Chargé de la récupération des dettes fiscales impayées dans les délais prescrits par la loi en matière d’impôts immobiliers, d’impôts des personnes physiques sur les revenus et de taxes sur l’immatriculation des automobiles.
6. Réalisations:
Selon l’état d’avancement des procédures de récupération des créances fiscales, suivi et mises à jour des dossiers fiscaux, en collaboration avec les institutions bancaires ou huissiers de justice le cas échéant; accueil à l’administration des contribuables concernés par les procédures ou poursuites éventuelles.
7. Acquis:
Les réalités du terrain en matière de difficultés liées aux procédures de récupération de créances fiscales à l’encontre de contribuables d’une commune bruxelloise dont une fraction importante de la population appartient aux couches sociales plutôt défavorisées et est d’immigration récente.
Le détail des règles et procédures administratives en vigueur et devant être appliquées par un receveur communal et son service, des délais et recours prévus par la loi et leurs contraintes.
D. Gestionnaire de projets au sein de la filiale européenne d’un bureau d’études international spécialisé en EPCM - Bruxelles
1. Date: Septembre 1999 à juin 2002
2. Lieu: Bruxelles, Belgique (avec missions fréquentes en Roumanie et Tunisie)
3. Société: MWH sa (Montgomery Watson Harza), filiale belge de MWH Inc. (USA).
Firme internationale d’ingénierie spécialisée en gestion de projets clé-sur-porte et d’assistance technique multi-disciplinaires, leader mondial dans le domaine de l’eau et de l’environnement (traitement des eaux usées, systèmes d’égouts, hydroélectricité, gestion des déchets industriels et ménagers). Compte 5.500 employés et 160 implantations dans le monde, (Amériques, Europe, Afrique, Proche, Moyen et Extrême-Orient, Océanie). Le CA année fiscale 2001: € 850 millions
4. Fonction: Business Manager, adjoint de l’administrateur-délégué au sein du Dpt. EPC & M (Engineering, Procurement, Construction & Management).
5. Responsabilités:
En tant que Chef de projet, mes activités se répartissaient depuis la sélection et identification, le suivi d’appels d’offres internationaux émis par des Etats ou Organisations multilatérales, l’étude des cahiers de charges et l’élaboration des soumissions jusqu’à l’exécution du marché et gestion (ou évaluation) des projets.
6. Réalisations et principaux projets:
6.1. Projet d’électrification rurale en Cisjordanie/Palestine (€ 7,5 millions, financé par la Coopération Technique Belge): Études topographiques, livraison et installation des équipements pour l’électrification de quelques 30 villages, la supervision d’un chantier pendant 2 ans in situ. Mes tâches ont couvert la préparation de la soumission début 2000 jusqu’à la mise en oeuvre du marché à partir de janvier 2001.
6.2. Projet de soutien au secteur de la Protection de l’enfance abandonnée en Roumanie
( € 1,5 millions, financé par la CE - Phare): Appui institutionnel à l’Office National pour la Protection de l’Enfance en termes de préparation du programme Phare 1999, d’évaluation de l’état et de procurement monitoring (nourriture, équipements, matériel didactique) ainsi que de formation professionnelle des cadres en collaboration avec les organismes et ONG sur place. J’ai repris en main ce projet (auquel il allait être mis fin après 6 mois d’activité) en juillet 2000. Il est arrivé à son terme en déc. 2001 à la satisfaction du client. Mes responsabilités comportaient la gestion d’un staff local et expatrié de 30 pers. et de nombreux séjours à Bucarest entre août 2000 et oct. 2001.
6.3. Projet de télécommunications (€25 millions ) en Tanzanie financé par la Belgique par Crédit d’Etat à Etat (évaluation en Sept.-déc. 2000):
Suite à la requête de la société Siemens d’obtenir le prolongement du financement d’un projet de réhabilitation du système tanzanien des télécommunications lancé depuis 1991, le Comité Finexpo (Affaires étrangères et Direction de la Trésorerie) m’a chargé de procéder à l’évaluation de ce projet. J’ai envoyé un expert en télécommunications sur place qui, chargé d’utiliser la méthode « Performance Monitoring and Evaluation System », a inclus ses conclusions techniques dans un rapport dont j’ai assuré la présentation auprès du Directeur Général du Commerce extérieur en janvier 2001.
6.4. Etat de la formation professionnelle en Roumanie:
Chargé de la coordination d’une mission d’évaluation des besoins en matière professionnelle menée par des consultants spécialisés en jan.-juin 2001 pour le Ministère roumain de l’Emploi & de la FP et financé par la CE et la Fondation Européenne pour la FP (Milan).
6.5. Projet de Provenderie « clé-sur-porte »(€ 250,000) en Côte d’Ivoire:
Chargé de conclure ce projet financé par la Banque Africaine de Développement au profit du ministère de l’Agriculture et consistant à former les bénéficiaires une fois l’équipement installé.
6.6. Monitoring et évaluation de programmes financés par la CE:
Comme MWH a été chargée entre 95 et 2001 du contrat OMAS, qui consistait à contrôler et évaluer tous les projets soutenus par Phare en Europe centrale et orientale depuis 1989, j’étais régulièrement amené à identifier les experts ad hoc tout comme je le faisais dans le cadre du Contrat-cadre gagné en 2000 (“lots” environnement et infrastructure). Il est à noter que MWH a également gagné en 2001 le contrat prolongeant OMAS ainsi que Tacis monitoring (pays d’ex URSS).
6.7. Déchets industriels, eaux usées et procurement:
Parallèlement, j’ai assisté l’administrateur-délégué dans la préparation d’offres pour la construction et gestion de décharges industrielles et ménagères ainsi que de stations de traitement des eaux usées en Bulgarie et Roumanie ( marchés de €20 à €30 millions financés par la BERD et le Programme ISPA de la CE).
J’ai également analysé la mise sur pied d’une centrale d’achats ( € 40 millions - MEDA) de matériel pour la Formation professionnelle et ai mené plusieurs missions à Tunis en 2001.
7. Acquis:
De cette expérience professionnelle chez MWH, bien qu’au départ focalisée sur le domaine de l’eau usée et la gestion de l’environnement, elle a finalement débordé de manière régulière sur d’autres domaines et a comporté des aspects aussi essentiels que:
‣ La gestion et l’évaluation (PMES) de projets internationaux financés par des grandes institutions multilatérales (CE et Tacis, Phare, MEDA, FED, ISPA, la BERD, la Banque Mondiale, la BAD…) ou bilatérales (DGCI, Finexpo, CTB en Belgique, DFID…) et la maîtrise de leurs procédures administratives propres (ex. « cadre logique » de la CE);
‣ La gestion et le backstopping d’équipes internationales;
‣ Le procurement et le contrôle des achats;
‣ Le contrôle des coûts et les exigences de projets de grande ampleur (€40 à 50 millions);
‣ La connaissance des contraintes liées aux stations d’épuration des eaux usées.
Elle a aussi permis d’enrichir mon expérience grâce à:
‣ Un projet à forte composante technique ( l’électrification en basse et moyenne tension);
‣ des contacts soutenus avec les autorités et sociétés locales de nombreux pays en Europe orientale, en Afrique du Nord et au Proche orient, en Asie et en Afrique subsaharienne;
‣ une bonne connaissance de la Roumanie et des opportunités industrielles, au cours de + de 12 missions sur place et des contacts avec les autorités à niveau élevé;
‣ la connaissance approfondie des procédures du ministère des Finances en matière d’évaluation de projets financés par crédit d’Etat à Etat.
E. Responsable du suivi des programmes et projets financés par l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel au Zimbabwe
1. Date: Juin 1995 - sept. 1998
2. Lieu: Hararé, Zimbabwé, Vienne, Autriche et Johannesbourg, Afrique du Sud
3. Organisation: Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI). Agence des N.U. chargée de soutenir l’industrie en général dans les pays en voie de développement ou à économie en transition. Siège central à Vienne, compte 169 Etats membres et est présente dans 35 pays. En 1998, comptait près de 800 agents et disposait d’un budget annuel de $375 m. en sus de son budget de fonctionnement propre (± $200 m.).
4. Fonction: Junior Professional Officer (mis à disposition par l’administration générale de la Coopération au développement, ministère belge des Affaires étrangères).
5. Responsabilités:
En charge du bureau de l’ONUDI au sein de la représentation locale du PNUD à Hararé, Zimbabwé, couvrant 5 pays d’Afrique australe (Zimbabwe, Zambie, Botswana, Namibie et Afrique du sud à certains égards).
Mon rôle consistait pour l’essentiel, avec l’aide des techniques mises à dispositions par l’ONUDI, a promouvoir et coordonner la réalisation de projets divers destinés à améliorer et optimaliser si possible, la gestion globale des ressources.
J’ai également organisé très régulièrement des missions d’évaluation de projets, des missions économiques, des conférences et des séminaires. Je rapportais au directeur « Afrique » de l’ONUDI à Vienne et au directeur régional de l’ONUDI basé à Lusaka (Zambie) à partir de 97. Je participais au comité de direction du PNUD et à la réunion de coordination de toutes agences des Nations unies présentes au Zimbabwé.
6. Réalisations:
Durant 3 ans, j’ai supervisé et dirigé l’exécution de plus de 15 projets de taille variable parmi les 30 en cours entre ‘95 et ’98 au Zimbabwé et dans la région et portant sur 3 axes majeurs:
‣La promotion de techniques de minimisation des déchets industriels (« cleaner production » - Mécanisme de développement propre) comprenant également un meilleur contrôle des coûts et la planification du retraitement ceci bien évidemment dans un but global d’amélioration du rendement;
‣la restructuration industrielle de PME au sein d’un secteur entier, qui dépendaient parfois de grandes entités internationales (Anglo American, Delta Corp.), et ce essentiellement dans les domaines du cuir (de la bête à la chaussure), de l’agro-alimentaire ou de la sidérurgie;
‣la promotion de l’investissement étranger, notamment par l’introduction d’incitants financiers et de techniques de marketing modernes avec en corollaire le soutien au secteur public et à la recherche scientifique, dans les domaines visés par les axes 1 et 2 ci-dessus.
Les détails relatifs aux responsabilités quant au suivi des projets exécutés au Zimbabwe sont repris dans les pages "suivi évaluation " et Afrique de l'est et du sud mais pour ce qui concerne le siège à Vienne plus spécifiquement:
6.1. Atelier et programmes de formation sur la gestion du cycle de projets et l'approche du cadre logique (pour JPO):
Participation entre septembre 2005 et mai 2008 à des ateliers et sessions de formation sur la GCP selon les principes de l'approche du cadre logique, ce qui incluait l'élaboration de systèmes de suivi évaluation et d'information du management.
7. Acquis sur l’ensemble de la période 1995-98:
‣Travailler pour une Agence des Nations Unies et dans un environnement multiculturel;
‣la direction d’un bureau avec une très grande autonomie;
‣la coordination de projets dans des domaines et secteurs industriels variés;
‣le développement d’un réseau de contacts au sein du monde industriel et scientifique et auprès:
-des Agences multilatérales (Fonds européen de développement) et bilatérales de coopération (Belgique, Pays-Bas, France, Royaume-Uni, pays scandinaves, Allemagne, Japon, Canada, Italie, Etats-Unis etc.)
-des agences et programmes des Nations unies (ONUDI, PNUD, PAM, FAO, UNIFEM, FNUAP, Groupe Banque mondiale - BIRD, SFI, AMGI et AID, VNU, OMS, HCR, OIT-BIT, UNICEF, PNUE, etc…);
-d’ONG, bureaux d’études ou firmes spécialisées dans la mise en œuvre de projets;
-des medias nationaux et internationaux
En outre, comme coordinateur de la mission du Directeur “Afrique” de l’ONUDI au Sommet de L’OUA à Hararé en juin 1997 qui a rassemblé les chefs d’Etat africains (Mandela, Kabila, Museveni..) et autres Leaders mondiaux, des diplomates et très hauts fonctionnaires dont le Secrétaire Général de l’ONU, Mr Koffi Annan, j’ai organisé et pris part à des conférences de presse, interviews à la radio /TV et ai eu l’occasion d’épauler l’Envoyé spécial des NU en Angola, M. Bé, venu assister à ce Sommet.
F. Conseiller du ministre-président de la Régions wallonne et chargé de la mise en œuvre d’un programme de soutien au commerce extérieur.
1. Date: Juin 1993 - mai 1995
2. Lieu: Belgique, basé à Namur, cabinet du ministre-président du gouvernement wallon
3. Entité: Gouvernement de la Région wallonne ( à présent habilitée à conduire sa propre politique en matière de développement économique et commerce extérieur).
4. Fonction: Conseiller indépendant en commerce extérieur au sein de la cellule « follow export » mise sur pied en 1993 avec le soutien de l’Union wallonne des entreprises (UWE).
5. Responsabilités:
‣ En charge de la mise en œuvre d’un Programme spécial de soutien au commerce extérieur destiné surtout aux PME (budget € 6,2 millions);
‣ supervision des activités de l’AWEX (Agence wallonne à l’exportation), notamment quant à ses missions commerciales et à la gestion de son réseau d’attachés commerciaux et lobbymen;
‣ je rapportais directement au chef de cabinet du ministre-président (2 sur la période).
6. Réalisations:
‣ Coordination des activités de la cellule entre le cabinet et l’UWE et ses membres (surtout les SME) et liaison avec les autres cabinets et départements ministériels;
‣ rédaction de très nombreuses notes et recommandations à l’attention du ministre et de son chef de cabinet en matière de commerce extérieur et de relations internationales;
‣ représentation du ministre-président au sein de l’AWEX et de plusieurs organismes en charge de la promotion du commerce extérieur tant aux niveaux régionaux qu’au niveau national/fédéral (OBCE, Ducroire, Copromex, Fonds du commerce extérieur etc.);
‣ préparation des missions économiques du Ministre à l’étranger et de ses interventions publiques (discours etc.);
‣ membre de plusieurs comités accréditant des consultants spécialisés;
‣ mise sur pied d’un cadre de collaboration entre l’AWEX et l’ONUDI et de conventions similaires aux niveaux bilatéral et multilatéral (BAD, BAsD, BERD, BIRD, CE);
‣ organisation d’une conférence à Namur avec M. Miklos Nemeth, ancien premier ministre hongrois et vice-président à la BERD et le directeur pour la Belgique, M. B. Snoy.
7. Acquis:
‣ Cette expérience au sein d’un cabinet ministériel et de l’AWEX m’a permis d’acquérir une meilleure connaissance:
‣ des contraintes auxquelles font face les PME à l’export et sur de nouveaux marchés;
‣ des différents instruments de promotion du Commerce extérieur belge (OBCE, Copromex, Ducroire, Fonds du Commerce extérieur, lignes de crédit à l’étranger, collaboration entre PME et multinationales etc.);
‣ des programmes de diverses institutions financières internationales (BAsD, BAD, Banque Mondiale, BERD, CE - Phare, Tacis, ECIP, CDI…) en soutien au entreprises;
‣ du monde politique belge et des institutions nationales et régionales en Belgique;
‣ …ainsi que de nouer de très nombreux contact avec le monde des entreprises en Belgique, en Wallonie particulièrement
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